Rien à faire. Fatigué et dégoûté.
Dès que j'ouvre sur les sites d'infos, le même cirque de personnes et de futilités. Et comme un con, je continue à suivre le fil.
Je me dis que je devrais me changer que ce soit dans ma vie professionnelle ou personnelle. Chaque jour. A la fin, c'est un sentiment d'échec qui m'envahit.
La procrastination m'a tué.Disons que tout n'est pas noir. Dans cette grisaille quotidienne, quelques personnes rendent ma vie moins taciturne avec leurs discussions et leur partage de temps : famille et amis.
Mais, je ne sais pas pourquoi, après l'euphorie d'être avec les gens que j'aime leur compagnie, vient la rechute de la solitude plus tard. Serait-ce du désir du sentiment ? Je n'ose pas imaginer cela.J'ai perdu l'inspiration pour écrire et dessiner.
Et je refuse de suivre comme un ruminant tout ce qui se passe comme polémiques plus ou moins stériles. Ma tête se sent vidée.En bref, ce gribouillage de dimanche après-midi peut être considéré comme du n'importe quoi.
Peu importe. Je veux parler. Juste parler.
Vivre entre 4 murs entre 5 heures/jour à même une journée n'est pas drôle du tout.
Et même parler au tél, sur FB ou Twitter me rend solitaire davantage.
Mais c'est quoi ce sentiment d'insatisfaction, de manque de satiété ?
Epuisé dans mon esprit, j'arrête d'écrire mes lamentations énervantes digne d'un petit garçon gâté.