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Wednesday, August 20, 2008

Recyclons nos déchets...

Quel est le point commun entre un pot (de confiture, mayonnaise, moutarde, etc.) en verre vidé, une boite de conserve ouverte, un emballage de plastique ou de carton ouvert et autres déchêts ? Pour un marocain, tous vont à la même poubelle. Recyclage ? Pour lui, c'est un concept qui n'existe que dans les pays développés et, de toute façon, il s'en fiche où part ces déchêts puisque le plus important pour lui est que le camion de poubelles arrive à temps (Au gré des grêves occasionnels des éboueurs) et que les poubelles soient là.

Ces 10 dernières années (Peu être plus ou moins), un phénomène est apparu dans les rues et les boulevards casablancais. Des personnes, plus ou moins jeunes, en solitaire ou en groupe, avec ou sans chariot de bois et bâché avec un grand sachet de plastique...visitent les poubelles et cherchent dans son contenu tout ce qui peut avoir de la valeur : plastique, métal, câble, verre...et même le reste des légumes épluchées ou jetées. Ajoutant à cela le vandalisme subi par ces poubelles de grande capacité par des voyous ou des enfants cherchant de l'action, les éboueurs "officiels" se trouvent dans des situations difficiles.

Pourtant, le recyclage est devenu essentiel surtout pour notre pays. Si la population comprenne sur le principe de triage des déchêts à partir de leurs maisons par la sensibilisation, que les sociétés chargées de la collecte des déchêts font des efforts en mettant en place des poubelles dédiés au verre, plastique, métaux à titre d'exemples, la gestion des déchêts sera plus facilité pour la ville. Alors que les matières premières sont devenues très chères, je ne comprends pas pourquoi la féraille marocaine est exportée dans des conditions dangereuses au lieu de la fondre ici même ? Les industriels, grâce au recyclage, pourront réduire leurs achats en matières premières et en même temps préserver l'environnement. On peut récupérer les métaux non seulement de la féraille mais aussi des boîtes de conserves ou même des piles que les magasins, dans les pays développés en tout cas, sont sommés de le récupérr au même titre que les cartouches d'imprimantes. C'est aussi l'occasion de créer des emplois et améliorer la situation des éboueurs informels : salaires réguliers, condition de travail améliorée, digneté...

Si vous avez des idées surtout simples, à vous de jouer...

Wednesday, August 13, 2008

Page 123, cinquième phrase (et non ligne)

Suite au tag nouvelle formule de Baba Larbi, me voici en train de prêter à ce jeu.

Voici les règles :
1 - Indiquer le nom de la personne qui vous tagué avec un lien vers son blog
2 - Prendre le livre que l'on lit actuellement à la page 123
3 - Recopier le texte de la 5ème phrase et des 3 suivantes
4 - Indiquer année de parution, édition, titre et auteur du livre
5 - Choisir 5 autres blogueurs/blogueuses pour leur demander ce qu'ils lisent.

Cela fait un bout de temps que je n'ai pas lu de livre. Cependant, mon dernier ouvrage lu est intitulé "Autobiography of a geisha" de Sayo Masuda et traduite en anglais par G. G. Rowley. Il a été édité par la maison Random House dans la collection "Vintage East". Cet ouvrage est est loin du faste de "Memories of a geisha" de Golden Arthur (Je l'ai lu durant mes navettes) ou "Geisha of Gion" de Mineko Iwasaki, irritée par l'auteur précédent qui a cité son nom alors qu'ils étaient d'accord sur la confidencialité de sa particpation. Cet autobiographie parle des gconditions de vie eishas travaillant dans les villes thermales et dont leur réputation est moins fabuleux (Mais plus sulfureux car elles étaient plus impliquées dans le commerce du sexe que celles de Tokyo ou de Kyoto avant et après la guerre mondiale. Voici ce que j'ai trouvé dan la page 123, 5ème phrase (et non ligne. Larbi devrait réctifier) :

The police station was a grim place; just a table and three chairs in a room, and a policeman keeping watch from the side as Sute and I sat facing each other. "Might we ask to leave us alone?" I asked; but the policeman only made a sour face and shook his his head.

Maintenant, je passe le relais aux bloggeuses & bloggeurs suivant :
Lady Zee
Tequiladrenaline
7didane
Laurent Bervas
Marie-Aude

Sunday, August 10, 2008

Quelques vidéos... Some videos...

Voici 2 vidéos intéressantes que j'ai trouvé aujourd'hui, comme je n'ai pas de sujet pour en parler.
Here are 2 interesting videos I found today, as I didn't find yet any topic to talk about.

Bagages tombés à l'Aéroport Mohamed V
Fallen luggages in Mohamed V Airport, Casablanca


Une chatte aidant son chaton qui est bloqué dans un panier
A she-cat trying to help her kitten blocked in a basket

Thursday, August 07, 2008

Mariage # Funéraille

Normalement, j'aurai pu nommer ce post "2 mariages et un enterrement" ou bien "un mariage et un enterrement". Bon, ici n'est pas question du titre mais plutôt de l'histoire que j'ai été témoin.

La semaine dernière, un mari d'une membre de la famille maternelle s'est éteint après avoir été malade. Il a laissé une femme, un garçon et une fille au début de leur adolescence. Cela m'a rappelé le décès de mon père alors que j'étais à la dernière année du primaire et mes frères et sœur petits. Samedi dernier, je suis venu assister le soir à l'habituelle cérémonie où des "talbas" (Personnes qui récitent le Coran) psalmodiaient à tue-tête et des invités masculins autour des tables mises en place. Les femmes étaient à l'intérieur de l'appartement situé dans une grandes résidences populaires. Le repas des funérailles était préparé à l'extérieur, envahissant l'espace vert devenu désert de terre. Le nombre des hommes venus aux obsèques n'étaient pas élevés pusque certaines tables étaient vides. Soudain, on entend de la musique orientale non loin des obsèques. C'était un mariage organisé par des voisins quelques parts. Imaginez écouter au même moment une récitation du coran à voix naturelle avec la musique orientale version orchestre de mariage qui utilise la synthé et les percussions : cacophonique. Pour aggraver les choses, le fils du décédé n'a pas du tout apprécié la situation surtout que, d'après lui, ces voisins ont refusé de reléguer la cérémonie du mariage ou, à défaut, de réduire le son qui a pratiquement couvert celui des talbas. Ceci l'a rendu davantage triste. Heureusement que la famille, notamment les jeunes, ont été là pour remonter un peu le morale. J'ai eu vraiment de la peine pour la famille et dégoûté par les voisins.